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À , l’o. c. p. c. ne nous est sorti, jusqu’à maintenant, que comme dominant homozygote ; cependant, si l’on consulte le tableau suivant, on voit qu’il peut être représenté également par des hétérozygotes (monodominants), capables de donner le récessif o. c. p. l. Pour ce qui est de l’o. a. p. c., bien que n’étant sorti, à ce jour, qu’à l’état d’homozygote, nous pensons qu’il doit être représenté également par des hétérozygotes monodominants avec descendance d’o. a.  . c. et d’o. a. p. l. L’examen du tableau suivant nous autorise à envisager cette possibilité. Quant à l’o. c. p. l., il sort à l’état de race pure dès la génération où il est produit.

Il ne nous a pas été possible, pour des raisons d’ordre matériel, d’étudier la descendance du type hybride d. r. c. p c. croisé par son semblable ; cependant cet organisme étant tridominant, nous pensons que sa descendance doit être la même que celle de l’hybride (no 3 du tableau accompagnant notre précédente communication) et doit comporter tous les types.

II. Croisement hybride , d. r. c. p. c. × o. c. p. c. o. c. p. c. (hétérozygote)[1]

Tableau

  1. Pris parmi les 54 de la série précédente.