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La fig. 4 reproduit quelques-uns de ces diagrammes. Les ordonnées y sont proportionnelles aux distances entre la section de l’extrémité ouverte du four et les sections où les températures représentées en abscisses ont été mesurées.

Figure 4.

Au moyen d’une vis, le four était fixé par sa partie inférieure au crochet d’une tige en laiton passant par un tube cylindrique. Ce tube faisait corps avec une traverse de laiton qui, libre de glisser le long du chariot auquel le pendule était suspendu, pouvait y être assujettie dans la position voulue, à l’aide de deux vis. Enfin, six vis de réglage servaient à la mise en place de la tige du four et à sa fixation au tube.

Le four était muni de deux bornes, diamétralement opposées à la tige-support. Les extrémités visibles de l’enroulement, qui y menaient, étaient soigneusement enveloppées d’un tissu d’amiante.

Le réfrigérant du four était alimenté par un grand récipient d’eau dont le niveau était maintenu constant par un déversement assurant la régularité du débit (ordre de grandeur : un quart de litre par minute).