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Pour cet écartement des pôles j’ai contrôlé la courbe de variation de la force le long de la médiane de l’entrefer et j’ai constaté un maximum suffisamment plat. Les mesures, exécutées avec diverses valeurs du courant excitateur de l’aimant, ont montré que la position de ce maximum et l’étendue de la région sensiblement constante sont indépendantes du courant d’excitation.

Fig. 1.

Pour le centrage des substances suspendues à l’entrefer, j’ai pratiqué une ouverture cylindrique de 12 mm de diamètre suivant l’axe de l’une des pièces polaires. Après le centrage, l’ouverture était bouchée par un cylindre en fer doux.

Les pièces polaires étaient montées de façon que le plan de symétrie du champ par l’axe des noyaux fût horizontal ; l’aimant reposait, au moyen de deux entailles aménagées au-dessous de la culasse, sur deux séries de 12 billes disposées dans