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dans ses Hibbert Lectures, 1886[1] ; — par divers travaux de M. Ernault, et notamment par le dictionnaire breton qui termine son édition du Mystère de sainte Barbe, 1888[2] ; — par la Chrestomathie bretonne de M. Loth, 1890[3] ; — par la publication du Corpus imcriptionum latinarum, 1863-1891, qui fait tant d’honneur à M. Mommsen et à ses savants collaborateurs ; — par une foule de mémoires dus à des épigraphistes et à des numismatistes français dont on trouvera les noms au bas des pages : MM. Creuly, Allmer, de Barthélémy, Héron de Villefosse, Mowat, Thédenat, Gagnat, Espérandieu, etc. — Et quoique MM. Windisch, Ascoli, Atkinson, Thurneysen, Kuno Meyer, Zimmer ne se soient pas occupés spécialement du gaulois, leurs travaux sur le glossaire et la grammaire irlandaise ont contribué à éclairer bien des questions qui sont inséparables de l’étude de la langue parlée dans

  1. Londres, Williams and Norgate, in-8 de xi et 708 pages. Ce volume a une suite : Studies in the Arthurian legend, Oxford, at the Clarendon Press, 1891, in-8, viii et 411 pages.
  2. Paris, Thorin, un volume in-4 de xii-404 pages.
  3. Paris, E. Bouillon, un volume in-8 de 528 pages.