Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences - Astronomie populaire, tome 1.djvu/244

Cette page a été validée par deux contributeurs.
224
ASTRONOMIE POPULAIRE.

dade, qui partage en deux parties égales les arcs de longueurs inégales, parcourus entre les points de lever et les

Fig. 89. — Théodolite de M. Froment[1].
  1. T, pied triangulaire de l’instrument reposant sur les trois vis à caler V, V, V. — C, cercle vertical portant un limbe en argent divisé en degrés et fractions de degrés. Concentriquement à ce cercle C tourne un cercle alidade ayant quatre verniers* dont la lecture est
*. Le vernier est une pièce mobile qui porte des divisions un peu plus petites que celles d’une règle ou d’un cercle gradues ; il sert à apprécier des fractions que l’on ne pourrait évaluer autrement avec certitude. L’invention du vernier est décrite dans un ouvrage imprime à Bruxelles en 1631, et intitulé : La construction, l’usage et les propriétés du cadran nouveau ; elle est due au géomètre Pierre Vernier, d’Ornans (Franche-Comté).