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ne se trompera pas. Sans doute, ça t’occasionnera quelques dépenses, mais de ces dépenses mêmes nous tirerons profit. Dans notre grande maison, le bel étage a été vide tout l’hiver : j’ai déjà insinué à la princesse qu’on pourrait prendre cet appartement pour la Société, et elle m’a répondu : « Pourquoi ne le prendrait-on pas, surtout si votre femme devient mon aide ? »

J’espère, chère Kitie, que cette lettre est la dernière à Krasnia-Kriastchy ; tu dois être lasse de ce Kriastchy : il vaut mieux y retourner une autre fois.

Les enfants vont bien et t’embrassent.

Ton mari et ami,

D.