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mon cœur, non pas encore vieux, mais déjà fatigué de la vie.

Partez plus tôt, vers neuf heures ; nous déjeunerons dans ce pavillon du jardin dont je vous ai parlé et avec patience nous attendrons la bonne, mais ennuyeuse Nadejda Vassilievna et son indispensable mari !

Je me permets de vous envoyer cette lettre par mon domestique. J’attends à genoux la réponse favorable.

A. Mojaïsky.