ne doit pas le faire pendant que l’on a ses affaires.
« Mais je sais bien, ajouta-t-elle en éclatant de rire, que c’est alors qu’on en a le plus envie.
« Mets seulement un linge sec entre tes jambes et reste tranquillement couchée.
« Mais cette chemise ne doit pas aller dans le linge sale, à moins que tu n’aies aussi tes affaires, Roger. »
Je vis alors que ma chemise était tachée de sang. Kate mit de l’eau dans une cuvette et s’approcha de moi.
« Heureusement que ça s’en va facilement, dit-elle, lève-toi, Roger, je vais te laver. »
Je me mis debout devant elle pour qu’elle trempât la chemise, mais ce n’était pas facile. Alors elle enleva tout de go la chemise, de façon à ce que je fusse nu devant les deux jeunes filles.
Elle lava la chemise en se moquant :
« Viens donc ! » ajouta-t-elle sérieusement et elle me lava avec l’éponge.
À ce contact, mon vit commença doucement à se soulever. Kate disait : « Ah ! méchant vit qui est entré dans le con de Berthe. » Et elle lui donnait de petites claques avec la main. Tout à coup, elle m’empoigna avec le bras gauche, me mit sur ses genoux et me fessa de toutes ses forces. Je me mis à crier. Berthe se tordait de rire.
Les fesses me brûlaient, mais je sentais une