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près de moi et sa défense me rendrait triste.

— C’est vrai, — reconnut-il, — il vaut mieux que je rentre tout de suite chez moi. »

Il partit donc immédiatement et visita ses parents. Ensuite, il se retira dans sa chambre. Il prit un livre et s’efforça d’étudier ; mais le souvenir de Tchoun-Hyang, de la joie qu’elle lui avait donnée, de sa jolie figure rose de plaisir, tout cela papillotait devant ses yeux et il ne parvenait pas à lire. Il attendit impatiemment tout le jour, aspirant à la nuit. Elle arriva enfin et il put se rendre auprès de sa maîtresse.


Restée seule, elle avait étudié tout le long du jour jusqu’au soir. Alors