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vous me quittez jamais, j’irai trouver votre père et je vous ferai condamner.
— Quel malheur ! — fit ironiquement I-Toreng, — en jetant ses bras autour du cou de Tchoun-Hyang et la pressant contre lui… — Jamais je ne vous quitterai, croyez-le bien.
— Voilà la nuit qui s’avance. — dit Tchoun-Hyang, — rentrons chez moi. »
Ils rentrèrent donc, enlacés doucement, s’embrassant et se disant des choses tendres. Et elle, lui pinçant la joue, comme on fait aux enfants : « Oh ! le malin, — fit-elle ravie, — comme il m’a trompée ! »
Ils entrèrent dans la chambre de Tchoun-Hyang. I-Toreng enleva les