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— Oh ! je ne puis vous croire, — reprit I-Toreng.
— Pourquoi donc, — demanda Tchoun-Hyang.
— Parce que je crois que votre pensée ne peut-être comme la mienne et que vous me trompez. »
Tchoun-Hyang répondit :
« Je sais, je sais, Confucius a dit : « Un cœur soupçonneux soupçonne toujours les autres. » C’est pourquoi vous ne me croyez pas. C’est vous qui me trompez, j’en suis sûre.
— Oh ! — fit I-Toreng en riant, — je veux bien admettre que je vous trompe ! Ainsi vous pensez vraiment comme moi.
— Certainement, je n’ai point l’habitude de douter des autres, et je parle tout droit comme je pense.
— Alors, — reprit I-Toreng, — si