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— Oui, — fit la vieille femme. »

I-Toreng les accompagna jusque sur le pont, et là il leur dit adieu. Tchoun-Hyang s’éloigna avec la vieille femme. I-Toreng rentra chez lui, rendit immédiatement visite à ses parents, mangea avec eux et leur raconta sa promenade. Après le repas, il se retira dans sa chambre, appela son domestique, et lui dit :

« Je suis très satisfait de vous ; je me suis promené avec Tchoun-Hyang et j’ai causé avec elle. La vieille femme s’est donné beaucoup de mal, donc il faudra lui remettre de l’argent.

— Bien, — reprit le domestique, — je m’en vais la faire venir et je lui donnerai sa récompense. »

Là-dessus, il partit et rentra chez lui.

De son côté Tchoun-Hyang, de re-