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jusque demain ou après-demain. »

I-Toreng alla dormir là-dessus. Le lendemain quand la mère frappa à sa porte, pour l’éveiller, en grondant contre la paresse du jeune homme, elle ne reçut pas de réponse. Ouvrant la porte, elle constata qu’I-Toreng était parti.

« Oh ! quel diable ! — fit-elle, surprise. — Hélas ! ma fille va encore s’attrister pour son dernier jour. Où donc est-il ? »

Mais elle le chercha partout vainement.

« Si je le dis à Tchoun-Hyang — pensa-t-elle, — elle va affreusement souffrir. Je lui tairai donc tout ceci. »


I-Toreng était parti pour rassembler ses domestiques, déguisés comme