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avait commis une faute et s’éloigna pour pleurer.

Il s’arrêta dans un autre endroit où des écoliers jouaient. Curieux de les voir de près et de les entendre, il s’approcha. En jouant, l’un d’eux, déjà un grand jeune homme, disait à ses amis :

« Aujourd’hui nous sommes gais ; il fait beau temps, voulez-vous que nous fassions une poésie ?

Un autre fit :

— Mais sur quel sujet cette poésie ?

— Le sujet sera : « La vie du peuple. »

I-Toreng pensa que c’était fort intéressant et, couché dans l’herbe, il tendit l’oreille.

Le jeune homme chanta :