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Tchoun-Hyang, dit alors :
« Il est impossible que je vous accompagne plus loin ; nous allons nous séparer ici. »
Et l’embrassant étroitement, le caressant, elle dit encore :
« Ne vous tourmentez pas trop pour moi, ami ; mais étudiez bien afin qu’un jour vous deveniez mandarin à Nam-Hyong et que vous puissiez m’épouser.
— Oh ! oui, — s’écria I-Toreng, — je travaillerai beaucoup en pensant à vous et je passerai mes examens pour vous conquérir.
— Je doute encore de vos paroles, — dit-elle — une fois dans votre pays, vous aimerez quelque autre jeune fille et vous m’oublierez.
— Comment pouvez-vous me dire une pareille chose ? — dit I-Toreng ;