Page:Anonyme - Printemps parfumé.djvu/105

Cette page a été validée par deux contributeurs.

« Votre père vous mande à l’instant : allez vite. »

I-Toreng laissa Tchoun-Hyang en lui disant :

« Au revoir, à tout à l’heure. »

Il rentra avec le domestique et alla visiter son père, qui dit :

« Pourquoi n’êtes-vous pas encor parti ? il faut partir tout de suite. »

I-Toreng répondit :

« Oui, mon père, j’y vais. »

Il dit adieu à son père et courut trouver sa mère.

« Partez en avant, je vous joindrai au plus tôt. J’ai ici quelques amis à qui je veux faire mes adieux.

— Soit, — dit la mère. — Allez donc tout de suite auprès de vos amis, et rejoignez-moi.

— Oui, maman, — dit-il. — à tout à l’heure. »