personnes sur la voie publique, et que leur mort est attribuée au manque de nourriture. S’il y a quelqu’un qui doive être bien renseigné sur ce qui se passe dans mon royaume, c’est pourtant bien vous.
— Sire, de qui tenez-vous cette nouvelle.
— De M. Sùn-Hyen.
— Ah ! Cela n’empêche cependant pas, que j’aie peine à y croire. Je viens en effet de recevoir les rapports de la police, et je n’y vois pas un mot au sujet de cet évènement. Aussi, suis-je de plus en plus étonné.
— Quoi qu’il en soit dit le roi, je veux que la fête de ce soir, ne continue pas un instant de plus.
— Vos ordres vont être exécutés Sire. Dès que je les aurai transmis, je me rendrai à mon bureau et prendrai des informations au sujet de ce que vous venez de m’apprendre.
S’inclinant respectueusement devant le monarque Ja-Jyo-Mi s’éloigna. Quelques minutes à peine étaient écoulées, que le palais où retentissaient