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J’ai dévoilé mainte injuſtice,
Et malgré tant de vains débats,
J’ai confondu tous les Prélats.


d’Anton.

     J’ai plaidé comme un inſenſé,
Pour un plat auteur famélique ;
Il méritoit d’être chassé,
Ecraſé de cent coups de trique.
Marat n’eſt qu’un eſcroc brutal,
Qui de tout ne dit que du mal.


Marat.

     Je ſuis le plus vil avorton,
Un gredin, né pour l’impoſture,
Je gamahuche un cul, un con,
Je péche contre la nature.
Recevez de moi des leçons,
Vous périrez ſous les bâton.


FIN.