Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1831-1832, Tome 22.djvu/55

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

pour le point de contact des deux courbes, on a

ou

(3)

cette équation, combinée avec l’équation (1), donne

d’où l’on tire

ce qui donne

Celle des deux valeurs de qui répond au signe du radical doit être rejetée, si elle est positive, parce qu’elle est plus petite que , ce qui, d’après l’équation (3), rendrait imaginaire ; et si elle est négative, ce qui a lieu pour il est évident qu’elle doit pareillement être exclue. Je ne m’arrêterai pas à calculer la valeur de non plus que celle de l’aire maximum.

Je remarquerai seulement que la forme

sous laquelle on peut écrire la valeur convenable de , indi-