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vertical qui passe par la ligne de contact qui répond à l’époque l’un de ces deux-ci est évidemment et quant à l’autre, c’est un des angles dièdres obliques de notre angle trièdre rectangle, en le représentant par on aura

d’où

et conséquemment

(15)

en joignant à ces équations l’équation (3), c’est-à-dire

(3)

et éliminant donc et entre elle, l’équation résultante en et sera l’équation polaire cherchée de la surface conique décrite par le rayon vecteur de la sphère mobile.

En raisonnant uniquement dans l’hypothèse déjà admise ci-dessus, l’équation (13) donne

mais l’équation (14) donne