Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1828-1829, Tome 19.djvu/153

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

suivant les deux mêmes coniques ; un point quelconque de la commune section des plans des deux courbes aura le même plan polaire relatif à toutes ces surfaces ; lequel contiendra leurs lignes de contact avec les surfaces coniques circonscrites qui auront leur sommet en ce point.

tes aux deux mêmes cônes ; un plan quelconque, passant par les sommets de ces deux cônes, aura le même pôle relatif à toutes ces surfaces ; et toutes les surfaces coniques circonscrites, suivant les intersections de ces surfaces par ce plan, auront leurs sommets en ce même point.

Soient présentement et deux constantes indéterminées, et soient trois surfaces du m.ième degré, données par les équations l’équation générale des surfaces de ce degré passant par les intersections de celles-là sera, comme l’on sait,

(11)

posant donc

il viendra ; en différentiant,

substituant ensuite dans (6), en y faisant nuls, on obtiendra, pour la surface polaire de l’origine, relativement à la surface directrice (11)