Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1826-1827, Tome 17.djvu/34

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion


Le second membre de cette dernière équation ne renferme plus que les seules cordonnées de la caustique ; en le représentant par et en mettant pour sa valeur on aura

De cette dernière équation, combinée avec l’équation (1)> on titrera les valeurs de et qui, substituées dans l’une ou l’autre des équations (7) et (8), donneront l’équation cherchée en et . Nous n’achevons pas le calcul, qui n’offre plus présentement que des difficultés pratiques, parce que le résultat en serait trop compliqué pour pouvoir être employé utilement.

Puisque l’équation générale de la caustique rapportée à deux axes choisis même de la manière la plus favorable, se présente sous une forme si peu traitable, il convient de remplacer cette équation par une autre entre d’autres variables ; car un problème ne peut être réputé résolu que lorsqu’on est parvenu à un résultat susceptible d’interprétation. Cherchons, par exemple, la relation constante qui doit exister entre la longueur du rayon incident et celle du rayon réfléchi ; le premier étant compté depuis le point rayonnant jusqu’au point d’incidence, et l’autre depuis ce dernier point jusqu’au point de contact du rayon réfléchi avec la caustique.

Soient et ces deux rayons, on aura d’abord

(12)

et ensuite

En éliminant de cette dernière formule, au moyen des équations (1), (7), (8), elle deviendra