termes effectifs, autant l’équation aura de couples de racines imaginaires, au moins.
Il est évident d’ailleurs que l’introduction ou la suppression d’une racine réelle, dans une équation, ne saurait modifier en aucune sorte le nombre de ses racines imaginaires.
Cela posé, soit
une portion d’une équation de degré quelconque, si on y introduit une racine réelle indéterminée en multipliant son premier membre par trois termes consécutifs de l’équation résultante seront
Or, d’après ce qui a été dit plus haut, si l’on peut disposer de de manière à avoir à la fois
ou bien
ce qui exige qu’on ait
l’équation aura deux racines imaginaires.
Mais quand bien même aucune de ces deux conditions ne pourrait être remplie, pourvu qu’en déterminant par la condition
il en résulte pour et des valeurs de mêmes signes, c’est-à-dire, des valeurs telles qu’on ait
l’équation aura également deux racines imaginaires, au moins ;