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et une certaine relation que nous représenterons par l’équation

dans laquelle mettant pour et les valeurs données par les deux équations précédentes, on obtiendra, pour l’équation générale, des surfaces coniques ayant leur sommet à l’origine

équation qui, résolue par rapport à deviendra

dans laquelle désigne une fonction tout-à-fait arbitraire.

Les deux différentielles partielles de cette équation, prises tourà-tour par rapport à et sont

et représentent, à l’ordinaire, les deux coefficiens diffèrentiels partiels

En multipliant ces dernières équations en croix et réduisant, on obtiendra, pour l’équation différentielle partielle générale des surfaces coniques qui ont leur sommet à l’origine

ou bien en développant, réduisant et divisant par