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dont la somme

a pour valeur lorsque est un nombre entier, et se réduit à zéro, dans le cas contraire.

De là résulte 1.o que l’équation a toujours une solution entière, et plus petite que lorsque et n’ont d’autres diviseurs communs que l’unité ;

2.o Que si et ont un commun diviseur différent de l’unité, qui ne divise point cette équation n’admet aucune solution entière ;

3.o Qu’enfin, si est un nombre entier, on trouvera pour un nombre de valeurs entières, plus petites que qui satisferont à l’équation proposée.

Puisque l’intégrale (3) représente le nombre des solutions entières de l’équation en prenant pour des valeurs moindres que il est clair que la formule

(4)

exprimera la somme des valeurs de entières et moindres que