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au jour les valeurs de la formule mais la transformation qui réduit l’expression à ne contenir que l’une ou l’autre des deux fonctions et entrait bien aussi un peu dans la question, et pourtant aucun d’eux ne s’en est occupé. On peut être surpris qu’elle soit échappée, en particulier à M. Crelle, qui a traité ce sujet avec le plus de profondeur et de développement, et qui paraissait destiner ce qu’il avait écrit sur ce sujet à servir de commentaire à une traduction allemande du Calcul des fonctions qu’il préparait.

Ceci explique, entr’autres, pourquoi l’équation différentielle de Lagrange admet les deux solutions qui étaient pour M. Lacroix une source d’embarras (Traité de calcul différentiel et de calcul intégral, tom. III, pag. 616).

Du reste cette relation entre et se trouve aux notations près, dans le mémoire de M. Poinsot ; mais la manière dont elle s’y trouve amenée et les nombreux détails au milieu desquels elle se trouve absorbée permettent à peine de l’apercevoir.


CORRESPONDANCE.

Lettre sur divers sujets traités dans les Annales ;

Par M. Stein, professeur de mathématiques au Gymnase de Trèves,
ancien élève de l’École polytechnique.
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Monsieur,

Les observations que j’ai l’honneur de vous adresser arrivent un peu tard. La raison en est que mon libraire a négligé de renouveler