Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1825-1826, Tome 16.djvu/228

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

 ; si donc l’on compare le triangle dont les trois sommets sont et à celui dont les trois sommets sont et on verra que, par l’hypothèse, les droites que déterminent leurs sommets correspondans passent toutes trois par un même point  ; d’où l’on conclura (17) que leurs côtés correspondans et déterminent un point en ligne droite avec les deux points et La comparaison du triangle dont les sommets sont et à celui dont les sommets sont et prouvera semblablement que le point déterminé par les côtés et est aussi en ligne droite avec les deux mêmes points et  ; ce qui complète la démonstration du théorème.



pare l’angle trièdre dont les trois faces sont et à celui dont les trois faces sont et , on verra que, par l’hypothèse, les droites que déterminent leur faces correspondantes sont toutes trois dans un même plan d’où l’on conclura (17) que leurs arêtes correspondantes et déterminent un plan coupant, suivant une même ligne droite, les deux plans et . La comparaison de l’angle trièdre dont les faces sont et à celui dont les faces sont et prouvera semblablement que le plan déterminé par les arêtes et coupe, suivant une même droite, les deux même plans et  ; ce qui complète la démonstration du théorème.

En raisonnant comme nous l’avons fait (18), on conclura facilement de là cet autre théorème :



En raisonnant comme nous l’avons fait (18), on conclura facilement de là cet autre théorème :

20. THÉORÈME. Si deux angles tétraèdres sont inscrits et circonscrits l’un à l’autre, de telle sorte que les plans que déterminent leurs arêtes opposées passent tous quatre par une même droite, les droites que détermineront leurs



20. THÉORÈME. Si deux quadrilatères sont inscrits et circonscrits l’un à l’autre, de telle sorte que les points que déterminent leurs côtés opposés appartiennent tous quatre à une même droite ; les droites que détermi-