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souffrances ; ce qui, joint au trop de confiance qu’il accordait peut-être aux médecins, n’aura pas peu contribué à abréger ses jours[1].

Agréez, etc.

Marseille, le 22 février 1825.


ANALISE TRANSCENDANTE.

Note sur le Mémoire de M. Vernier, inséré à la page 165
du présent volume,

M. Gergonne.
≈≈≈≈≈≈≈≈≈

Quelqu’un vient de nous faire observer que plusieurs des résultats obtenus par M. Vernier, dans son Mémoire, inséré à la page 165 du présent volume, se trouvent implicitement contenus dans des résultats plus généraux, antérieurement publiés par M. Cauchy. L’auteur de cette observation est loin de prétendre, en la faisant, déprécier le travail de M. Vernier ; il veut seulement 1.o montrer toute la fécondité des résultats obtenus par M. Cauchy ; 2.o offrir à

  1. M. Durrande, âgé de moins de 28 ans, s’était formé absolument seul, dans une très-petite ville de la Guienne, où il n’avait d’autres secours que celui des livres. Il préparait un traité purement géométrique des surfaces du second ordre ; nous ignorons dans quel état il aura laissé cet ouvrage.
    J. D. G.