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Supposons présentement qu’en laissant tomber un fil à plomb du centre du trou de la plaque sa direction rencontre le plan du cadran en un point alors en menant rencontrant en un point cette droite sera la méridienne du cadran. Menant ensuite coupant la circonférence en on divisera cette circonférence en vingt-quatre parties égales, à partir du, point on mènera du centre aux points de division des rayons prolongés jusqu’à la rencontre de l’indéfinie et alors les droites menées du point aux points ainsi déterminés sur seront les lignes horaires du cadran[1].

Le peu qu’on vient de lire nous paraît comprendre toute la gnomonique usuelle, sur laquelle on a écrit tant de traités volumineux ; comme ce qu’on lit à la page 181 du tome XIII comprend toute la perspective.


Séparateur
  1. Il se pourrait quelquefois que certaines droites partant du point ne rencontrassent que fort loin du point mais on sait, et même en n’employant que la règle, mener, par un point donné une droite dirigée vers le point de concours d’une droite donnée et d’une autre droite donnée, sans qu’il soit besoin d’avoir ce point de concours.