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Soient élevées respectivement à au point des perpendiculaires égales entre elles et à la distance du centre du trou de la plaque à sa projection ; soient menées soient prises sur ces droites, à partir de des longueurs arbitraires égales entre elles[1] ; soient abaissées des points respectivement, sur les perpendiculaires et soit formé le triangle

Sur comme bases soient construits des triangles dont les deux autres côtés soient égaux à pour le premier ; pour le second ; pour le troisième ; soient divisés les angles de ces triangles en deux parties égales, par des droites coupant les côtés opposés en enfin des points soient conduites des droites respectivement perpendiculaires à ces trois perpendiculaires concourront en un même point qui sera le centre du cadran.

Ce centre ainsi déterminé, on achèvera la construction comme il suit. Soit menée la soustylaire (fig. 11), et, par le point soit élevée à cette droite la perpendiculaire égale à la distance du centre du trou de la plaque à sa projection ; alors l’angle déterminera l’inclinaison de l’axe du cadran sur son plan. Soit menée à par le point une perpendiculaire rencontrant en le prolongement de Soit menée à par le point une perpendiculaire indéfinie et soit prolongée au-delà de cette perpendiculaire d’une quantité  ; enfin du point comme centre et avec comme rayon, soit décrite une circonférence.

  1. Le plus simple serait de prendre ces trois longueurs égales à la moins longue des trois droites Si nous ne le faisons pas ici, c’est pour conserver la symétrie des notations.