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soit en outre désignée par la racine réelle positive de l’équation ci-dessus pourra être écrite ainsi

représentant un nombre entier quelconque, généralement différent de Effectuant de part et d’autre les opérations indiquées et posant, pour abréger,

il viendra

d’où, en égalant séparément les parties réelles et les parties imaginaires[1],

(1)
(2)
  1. Nous placerons ici une remarque qui nous paraît importante : c’est qu’ayant une équation de la forme on ne doit pas en conclure trop légèrement lorsque ces quantités sont des séries. On sait en effet qu’une valeur imaginaire peut être développée en une série de termes réels, comme par exemple

    mais qu’alors ces séries ne sauraient être constamment convergentes. Lors donc que quelqu’une des trois quantités sera une série divergente, on ne pourra être certain de la conclusion