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lement qu’à une seule ; car, en mettant pour et dans l’équation (1) les valeurs données par les équations (4) et (5), on obtient entre ces deux constantes, l’équation de relation

Soit prise, pour exemple, l’équation

dans laquelle les fonctions et satisfont à la condition que nous avons supposé avoir lieu. Pour en avoir l’intégrale, il suffira d’éliminer entre les deux équations

ce qui donnera

équation dans laquelle les deux constantes et seront liées par la relation de sorte qu’on pourra écrire

comme on peut d’ailleurs le vérifier par la différentiation et l’élimination de [1].

La classe d’équations que nous venons de considérer comprend toutes celles dont l’intégrale complète représente une suite de courbes égales et parallèles.

Metz, 16 juin 1824.
  1. Ce problème est l’inverse de celui qui a été traité à la page 294 du précédent volume.
    J. D. G.