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en faisant donc on obtiendra

donc

deuxième partie du théorème[1].

Genève, le 15 avril 1823.

    mais il faut observer que n’est point ici un nombre tout-à-fait arbitraire, à cause de l’équation dans laquelle et sont nécessairement des nombres positifs, et où est un nombre entier. Si, par exemple, pour obtenir le produit

    on voulait faire et il s’ensuivrait ou ce qu’on ne peut admettre ; il faut donc chercher ce produit par une autre voie.

  1. M. H. W. T. à qui on doit ces deux singuliers théorèmes en a donné une démonstration qui ne diffère guère de celle qu’on vient de lire qu’en ce que, dans ses calculs, il substitue l’angle au rayon vecteur.
    J. D. G.