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PROBLÈMES.

en remarquant que, d’après ce qui précède,

on voit que, pour parvenir au but, il ne s’agit, que de prendre la somme des produits respectifs de ces quatre équations par ce qui donne sur-le-champ,

Tout ce que nous venons de dire est, comme nous l’avons observé, relatif au cas où l’on admet, comme autant de différens systèmes de répartition, ceux-là même qui peuvent ne différer les uns des autres que par les rangs que les mêmes parts y occupent ; mais si, au contraire, on ne veut admettre, comme systèmes différens, que ceux-là seulement qui ne sont pas, en totalité, composés des mêmes parts, on considérera que, dans le cas de parts, par exemple, un seul système, pris au hasard, peut, par la simple permutation des parts dont il est formé, en fournir un nombre lesquels ne doivent plus compter ici que pour une part unique ; d’où il suit que, dans le cas de parts, le nombre des systèmes de répartition réellement différens ne doit plus être simplement que