plus petit que la racine dont il s’agit est plus approchée, le quotient, égalé à zéro, est l’équation qui doit faire connaître les autres racines de la proposée.
Soit, par exemple, l’équation du troisième degré.
dont on trouve, pour l’une des racines, la valeur approchée en divisant son premier membre, mis, pour plus de commodité, sous cette forme
par le binôme négligeant le petit reste et égalant le quotient à zéro, on aura, pour déterminer approximativement les deux autres racines, l’équation du second degré
laquelle, étant résolue, donnera en outre
Soit, plus généralement, pour le troisième degré, l’équation
de laquelle on ait déduit pour une des valeurs approchées de en divisant son premier membre par le reste de là division sera, comme l’on sait,