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CADRANS
ce sont précisément les équations de la page 243 du tome VIII.e,
desquelles il faudrait tirer les valeurs de et pour en faire
le même usage que précédemment ; mais il est préférable de résoudre
notre triangle sphérique, à l’aide des procédés qui rendent les formules finales propres au calcul par logarithmes (Voyez Uranographie
pag. 386) ; il vient ainsi
L’angle auxiliaire est donné par la première équation ; on trouve
par la seconde, et par la troisième. L’usage de ces grandeurs
est le même que ci-dessus ; mais il est nécessaire, avant tout, de
donner au style la situation convenable.
Soient le zénith (fig. 7), le pôle, le méridien, le plan incliné du cadran ; soient les arcs perpendiculaires
à ce plan. Il est visible que l’angle en est l’azimuth que en est l’inclinaison le point est supposé sur la ligne
de plus grande pente, sur la méridienne, sur la projection
de l’axe, c’est-à-dire, sur la soustylaire ; l’arc est l’angle du style avec le cadran. Il s’agit donc, en premier lieu, de résoudre
le triangle sphérique rectangle où l’on connaît
et on calcule le côté qui est l’angle formé par
la méridienne et la ligne de plus grande pente ; ou calcule aussi
l’angle et l’on a, de cette manière,