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DE SOLEIL.

ce qui rend la grandeur de la partie éclipsée égale à c’est-à-dire, doigts ou encore, de plus que pour l’observateur de Paris ; ce qui fait environ un dix-huitième du diamètre apparent du soleil.

En résumant et réduisant les temps au méridien de Strasbourg, on aura donc les circonstances de l’éclipse ainsi qu’il suit :

Commencement à
du mat.
Conjonction apparente à
du mat.
Plus grande phase, de doigts à
du mat.
Milieu à
du mat.
Passage de la lune à l’écliptique à
du mat.
Fin à
du mat.
Durée
du mat.

§. III

Calcul pour Nismes.

On a, pour Nismes,

ce qui donne