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RATIONNELLE.


Relat. de M avec G et P
Relat. entre G et P

Dans ce tableau, chacune des lettres écrites après le trait vertical à droite est censée écrite à la droite de chacune des combinaisons de deux lettres qui se trouvent à gauche, sur la même ligne qu’elle.

On voit donc que le nombre total des cas s’élève à cinquante-quatre.

50. On voit d’après cela que, puisque, par exemple, la combinaison HX fait partie de ce tableau, il est possible que, le grand et le moyen termes étant absolument étrangers l’un et l’autre, le moyen soit entièrement contenu dans le petit, et que ce dernier ait seulement une partie commune avec le grand ; mais, comme la combinaison XH en est exclue, on en doit conclure qu’il est impossible que, le moyen terme n’ayant qu’une partie commune avec le grand et étant contenu dans le petit, ce dernier soit tout-à-fait étranger au grand.

51. Ce même tableau suffirait, à la rigueur, pour nous faire découvrir, dans tous les cas, si deux prémisses données admettent ou n’admettent point de conclusion, et pour nous apprendre en même temps, dans la première de ces deux hypothèses, quelles sont les sortes de conclusions qu’elles peuvent admettre. Soit, par exemple, le système des prémisses  ; on sait (26) que la majeure peut répondre, et ne peut répondre uniquement qu’aux seuls cas I, , et que la mineure répond et ne peut répondre qu’au seul cas H ; d’où il résulte que, dans la supposition présente, le système de relations de avec et ne peut être que IG ou H ;