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Page 48. la ligne 10. jusqu’à la ligne 16.

Page 53. ligne 17, jusqu’à la ligne 19.

Page 56. ligne 5. jusqu’à la ligne 16.

Page 58. lignes 7 & 8.

Page 74. ligne 8. 9. & 10.

Pape 107. la dernière jusqu’à la ligne 6. de la page suivante.

Page 113. ligne 4. jusqu’à la ligne 13. de la page 115.

Page 117. ligne 11.

Page 124. ligne 14, jusqu’à la ligne 6. de la page suivante.

Page 126. ligne 7.

    écrit à l’Académie des Sciences de Paris, une lettre datée du 17. Juillet 1740. dans laquelle il dit qu’un Ver solitaire, sorti du corps d’un malade qu’il traitoit, levait sa tête jusqu’à la hauteur d’un pied, & qu’ayant été mis dans de l’eau, il en faisoit autant. Ce frere ajoute, que le Ver étoit semblable à celui qui est représenté dans une des Planches de mon Livre de la Génération des Vers. C’est M. Winslow de la Faculté de Médecine de Paris, qui m’a communiqué la Lettre. Je l’ai lue, & il l’a rendue à l’Académie, qui la lui avoit prétée pour me la montrer. Cette circonstance, que le Ver levoit sa tête jusqu’à la hauteur d’un pied paroît une fable. Il n’est pas possible de la maniére dont il est construit, qu’il fasse un tel mouvement. M. Winslow m’a communiqué la Lettre ce jourd’hui Vendredi 29. Juillet 1740.

    * Nommé Frere Modeste.