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de l’abstinence aucun valétudinaire &c.

L’Auteur auroit dû faire un mémoire des points en faveur desquels il veut que Messieurs les Pasteurs décident. Car enfin ce seroit un peu trop, de prétendre qu’ils approuvassent toutes les maximes qu’il avance dans son Livre, d’autant plus qu’elles ne sont pas toutes aussi séveres, que celles que nous venons de rapporter, & qu’il y en a plusieurs ausquelles Messieurs les Pasteurs ne pourroient souscrire, sans donner dans cette fausse prudence du siécle, & dans ce relâchement dont nôtre Auteur avouë lui-même, qu’ils ne sont pas capables.


Fin du second Tome.