Page:Andry - Réflexions sur l’usage présent de la langue française.djvu/1171

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qu’il étoit permis aux Latins de faire de ces Locutions autant qu’ils vouloient, au lieu qu’à nous la même chose n’est pas permise ; il ne s’exprimeroit pas autrement, il a voulu mettre sans doute : Mais il ne nous est pas permis d’en faire de semblables aux leurs autant qu’il nous plaît. Du moins c’est le seul sens raisonnable qu’on puisse donner à ces paroles ; car l’autre ne seroit pas d’un homme qui sçauroit un peu la Langue Latine : Et si nôtre Grammairien s’avisoit de le défendre, il ne seroit pas mal-aisé de lui faire voir son erreur.



Hors la Ville,
Hors de la Ville.


C’est quelque chose de curieux que l’Observation