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le Latin, qu’il n’en devoit rien au celebre Grammairien, dont j’ay parlé, & que ce Critique releve si fort au-dessus de luy.

Cela n’est point net, il semble que ces mots qu’il n’en devoit rien, se rapportent à il n’a pas raison de dire, comme s’il y avoit, il n’a pas raison de dire, qu’il n’en devoit rien, & cependant ils se rapportent à vous voyez ; ce qui est une équivoque des plus vitieuses, il n’y avoit qu’à mettre : vous voyez par là que M. de Vaugelas ne sçavoit pas moins le Latin que le François, qu’il n’en devoit rien à ce celebre Grammairien, &c.


Autres phrases obscures.

Les Exemples suivans sont tirez du même Livre que ceux que nous venons de rapporter : Exemple, il s’agissoit en cette occasion de traduire Quintilien,