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de suite, l’autre, la besogne terminée.

Au moment précis où ils posaient le dernier moellon, la nuit commençait à tomber.

De la manche, les maçons essuient la sueur de leur front, avec la satisfaction de la bonne ouvrage faite.

Mais une lividité soudaine envahit leur face. La porte… cette porte qu’ils ont mis tant de conscience (et d’inconscience) à murer, cette porte est la seule issue de la chambre !

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Et bien que l’aventure date de pas mal de temps, le monsieur riche ne peut passer devant cette maçonnerie sans rire de bon cœur.