Page:Allais - Le Parapluie de l’escouade.djvu/289

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Oui, mais il a été pincé ?

— Il a été pincé, parce que c’était un serin. Moi, j’ai imaginé un truc épatant, pour ne pas être pincé.

— !!!???

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

À ce moment, ils soufflèrent la bougie et je n’entendis plus rien.

La petite femme débitait son idée tout bas, et l’homme n’objectait rien.

Bientôt, un bruit de baisers (mettons de baisers, à cause des jeunes filles qui continuent à nous écouter).

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Quelques semaines après les faits que je viens de relater, un homme était trouvé assassiné dans un wagon, sur la petite ligne d’intérêt local qui va de Dunkerque à Biarritz.