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P.-S. — J’ai reçu, ce matin, de M. Francisque Sarcey, la lettre suivante, que je m’empresse de reproduire :

« Monsieur,

» C’est seulement à l’instant qu’on me met sous les yeux une chronique de vous consacrée à Léon Gandillot, dans laquelle ma personnalité et mon nom se trouvent fâcheusement mêlés.

» Je ne m’attarderai pas à relever les erreurs dont fourmille votre biographie, erreurs qui ont indigné et copieusement affligé les amis de M. Gandillot. Ces rectifications ne me regardent en rien. Gandillot est assez grand garçon pour se défendre lui-même.

» Pour ce qui me touche personnelle-