MA lit EUGÉNII
de Marc, ondis
i n part ii-.
sans plus
de fondement i donn< est
d’un opuscule - N Méthone
que les contre^ eusement
ment cité par Fabricius
|e „. 7, / i -i emprunté par lui au
c ienne - » débute
ilse rencontre, mais anonyme et avec la.> ", -< :
pour dumonas Démétracopoulos, -| IpOoSoÇoç. M > l’attribu s Acominatos, tout en le main tenant plus loin, dans -a notice sur Marc, parmi les œuvres de l’archevêque d'Éphèsc. Ce n’esl pas ici u de rechercher le véritable auteur du traité ; il nous suffira de dire qu’il n’a rien de commun avec le habituel de Marc d'Éphèse. Doit également écartée la Z leràTÛv irpéo6e « v toû nâmt,
dam. N. Diamantopoulos attribue à Marc sur ladimir), f " 2-19. Cette en pour auteur un archevêque d’E. comme s’exprime le titre, mais comme cel que iait sous l’empereur Théo dore il faut évidemment l’identifier, non
avec Marc Éugénicos, mais avec Nicolas Mésaritès. — Par contre, on sciait porté à attribuer à Marc le traité qu’un certain moine Marc a composé contre liarlaam et Acyndinus et que contient le ms. Coislin 288 ; Montfaucon en a publié l’index, Bibliotheca Coisliniana, Taris. 17l">. p. 104. Comme nous le verrons plus loin, Marc a écrit et fort longuement contre Barlaam et Acyndinus. et il a bien pu se constituer dans un but pratique un répertoire de textes analogues a celui du n ; il faudrait, pour trancher la question, vérifier l’emploi de ces mêmes textes dans les deux ! composés par Marc entre Caleras. - Sous les i, Fabricius signale, en en donnant lesincipit, d’abord < : - puis un Epilogus
appartiennent effectivement a l’archevêque d'Éphèse, mais ils ne constituent pas deux ouvrages indépendants ; le premi< i
, nd au n. I <>, " « « syllogislica dont nous
aurons à parler plus loin, et le second n’est qu’un bref
Ferrare, dans la session Il s’agit donc, dans l’un et l’autre nples xir.iHv que l’on aurait tort de continuer à citer comme dis opuscules distincts.
éliminations opéré ms a l’examen des
ouvrages de controverse qui constituent sans nul donti de l’héritage littéraire de
rae d'Épi les repartir en
- .ries, suivant dont
il a combattu les doctril ndinistes
et les Latins.
1. A réfuter les Acgndinistes, Mari plus m lumineux de ses ouvrages, lequel, s’il était imprimé, ne comprendrait p
contre un célèbre théologien de rémort en 1 ll<'. litylène. L’ou> mentionné
- ". (, ., t. CLX,
rit par aucun de la litté ratur Une. Apres an >, où
l’auteur i but qui ; l’ouvrage
rend deux livres, dont il— r
xorrà
Ta Se
TOÔ l P°C'
v.pioiv à
i doctrine et ents
de ces deux livres sont ensuit. ! en une
série de 7 : '. propositions ou chapitres, que l’on rencontre men< 1 naturel des deux livres précède ni-, dont iN résument brièvement la doctrine. Ces pitres sont intitulés : KsçdtXaux ouXXoYiemxà y.arà
- T(7>v 'AxivSuvujtûx y.y-l Ttpèç
ont ét( publiés, d’abord par Séraphin de Pisidie en sup nient a son édition en trois langues du pamp d’Eustratios Argentis intitule : B'.6Xlov xaXoou, evov 'PavTio(io a- :, }. ; - : '>Gç. in- 1 « , l eipzig, 1758, p. 221227, puis comme inédits par W. Gass, Die M
Cabasilas, Greiîswald, 1849, p. GaSS s’est servi pour sa publication du Vindt
theolog. <ir. 171 (Nessel), f° l-ll ; il n’a pas connu le n. 81 d’Iviron, ꝟ. 61 1-621, ni le n Roussico,
ꝟ. 77-81, ni le n. 6<?du Métochion du Saint-Sépulcre à Constantinople, ni surtout les trois mss. suivants qui contiennent, avant les Capita syllogislica, les deux grands livres contre Calécas : Canon. 49, l « I0v° 91 v », Mega Spelaion 18, f « 2 65, fviron t30, [ « ! 94 ; c’est l’ancien n° 645 de Sp. Lampros. Ce savant n’a pas reconnu, eu examinanl lems.Ja nature de l’ouvrage ni son auteur : il l’attribue à Grégoire Palamas, alors que le nom de Palamas revient à chaque page sous la plume de l'écrivain, preuve évidente que cet écrivain n’a rien de commun, sauf la doctrine, avec le fondateur du palamisme. Il faut ajouter à la décharge de Lampros, que le manuscrit est incomplet du début, accident d’autant plus regret table, que le ms. d’Iviron est, selon toute apparence, en majeure partie autographe. Dans
apita st)Ilocjistic<i comme dans les deux livres contre Calécas, Marc développe, à grand renfort de syllogismes et de textes patristiques plus ou moins détournes de leur sens, l'étrange doctrine mise en circulation par Palamas sur les opérai i<ms de l’essence divine, sur la lumière divine et sur les dons du Saint-Esprit. A l’entendre, il y a une distinction réelle entre
nce divine et ses attributs, entre la nature de Dieu et les opérations par lesquelles il entre en rapport avec la créature. En Dieu, la bonté, la sainteté, l’imiii mot tous les attributs que nous concevons, constituent autant de propriétés réellement distiii, e, incréées et infinies comme
l’essence elle même, sans que cette multipliée réalités infinies altère en rien l’unité ni la simplicité de l'être divin. Tandis que l’essence demeure inaceessii Ions s’abaissent vers nous, tout en
- l éternelles et infinies comme Dieu. Dieu est
bien ce, avoue Palamas, mais il a ses opé rations : preuve évidente que celles-ci se distinguent réellement de celle-là. Plus les opérations se multiplient, plus l’essence est parfaite, et si, dan turcs inférieures, les opérations se trouvent comme fondues dans l’essence, ces mêmes opérations, a mesure que l’on monte dans l'échelli, sedéga gent de plus en plus de l’essence, et en Dieu leur nombre devient infini ; aussi est il souverainement parfait. A voir la façon dont Marc s’en prend a | sujet de l’expression d’acte pur appliqué a Dieu, on est en droit de se demander s’il a îéelleme ni rompus
le sens philosophique des termes dont il avec
tant de complaisance.
Appliquant sa tl i as divines aux
manifestations extérieu divinité, Mai
Palamas et de son