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B. Haurt’iUt, Documents relaii/s à la vie et aux ccuvrcx de Hugues de Saint-Victor, dans le Bulletin du comité historique des rponuments écrits de l’histoire de France, Paris, 1851, t. iii, p. 177-182 : = : P. L.. t. (Lxxv, col. r.xi.i-cLii ; Hugues de Saint-Victor. Nouvel examen de l’édition de ses œuvres avec deux opuscules inédiLs, Paris, 1859 ; Les œuvres de Hugues de Saint-Victor, essai critique, Paris, 1886 ; Notices et extraits de quelques manuscrits de la Bibliothèque nationale, Paris, 181)()-18 !) : i, t. i-vi ; notamment l. ii, p. 268-270 ; t. VI, p. 23-27 ; J. de Ghellinck, La table des matières de la première édition des œuvres de Hugues de Saint-Victor, dans les Recherches de science religieuse, Paris, 1910, t. r, p. 270289, 385-390 ; L-’ji catalogue des œuvres de Hugues de Saint-Victor, dans la Revue néo-scolastique de philosophie, Louvain, 1913, t. XX, p. 226-239.

b) La Sunima sententiarum. — Mercier, Mémoires de Trévoux, avril 1766, p. 865-868 ; A. Mignon, L. Tractatus théologiens et Pierre Lombard, dans la Revue des sciences ecclésiastiques, Arras, 1890, 7° série, t. ii, p. 514-547 ; H. Denifle, Die Sentenzen Hugos von Sl.-Victor, dans VArchiv jiir Litteraiur— und Kircliengeschichle des M iltelallers, Berlin, 1887, t. iii, p. 634-640 ; A. M. Gietl, Die Senienzen Rolands, naclinials Papstes Alexander 111, Fribourg-en-Brisgau, 1891, p. xxxiv-xl ; p. Fournier, Une preuve de l’authenticité de la Somme des sentences attribuée à Hugues de Saint— Victor, dans les Annales de V université de Grenoble, Grenoble, 1898, t. X, p. 171-181 ; R. de Chefdebien, Une attribution contestée. La Summa sententiarum de Hugues de Saint-Victor, dans la Revue augustinienne, Paris, 1908, t. xii, p. 529-560 ; F. Anders. Die Summa sententiarum kein Werk des Hugo von St.-Viktor, dans Der Katliolik, Mayence, 1909, t. ii, p. 99117 ; P. Clæys-Bouiiært, La Summa sententiarum appartient-elle à Hugues de Saint-Victor ? dans la Revue d’histoire ecclésiastique, Louvain, 1909, t. x, p. 279-289, 710-719.

3. Doctrine.

a) Philosophie, arts libéraux, pédagogie. — X. Rousselot, Études sur la philosophie dans le moyen âge, Paris, 1840, t. i, p. 315-381 ; H. Ritter, Geschichte der christlichen Philosoi>hie, Hanilioiirg, 1844, t. iii, p. 507-547 ; B. Hauréau, Histoire de la philosophie scolastique, Paris, 1872, t. I, p. 423-429 ; H. Bouchitté, dans le Dictionnaire des sciences philosophiques, Paris, 1875, p. 733-734 ; R. Bindel. Die Erkenntnisstheorie Hugos von S(.-Vic<or, Quakenbriick, 1889 ; Z. Gonzalez, Histoire de la philosophie, trad. G. (le Pascal, Paris, 1890, t. ii, p. 172-176 ; A. Mignon, Hugues de Saint-Victor. Ses doctrines philosophiques, et La psychologie de Hugues de Saint-Victor, dans la Revue des sciences ecclésiastiques, Arras, 1891, 1893, 7° série, t. IV, p. 28-53, 97-110 ; t. viii, p. 1-35 = Les origines de la scolastique et Hugues de Saint-Victor, t. i, p. 63-126 ; O. Schmidt, Hugo von St.-V ictor als Pàdagog, Meissen, 1893 ; É. Blanc, Histoire de la philosophie, Lyon, 1896, t. i, p. 422424 ; G. Santini, Ugo da S. Vittore, studio fdosofico, Alatri, 1898 ; J. Mariétan, Problème de la classification des sciences d’Aristote à saint Thomas, Paris, 1901, p. 130-131 ; L. Baur, Dominicus Gundissaliiius De divisione))hilosophix. Munster, 1903, p. 358-365 ; F. Ueberweg-JVI. Heinze, Grundriss der Geschichte der Philosophie, 9e édit., Berlin, 1905, t. ii, p. 222224 ; M. de WuII, Histoire de la philosophie médiévale, 2e édit., Louvain, 1905, p. 212-213, 229-231 ; Introduction à la philosophie néo-scolastique, Louvain, 1904, p. 88-90, 109-111 ; H. Ostler, Die Psychologie der Hugo von St.-Viklor, Munster, 1906 ; O. Willmann, Ein Studienbuch ans ilem XII Jahrhunderl, dans les Christlich-pddagogische Blàtlern fiir die osterreichisch-ungarische Monarchie, Vienne, 1906, t. xxix, p. 245-252, 269-275 ; G. Robert, Les écoles et l’enseignement de la théologie pendant la première moitié du Xll’siècle, Paiis, 1909, p. 101-108, 140-146, 212-237, et passim aux pages marquées à l’index alphabétique, p. 241 emportant) ; G. Grassi Bertazzi, La filosofia di Hugo da San Vittore, Rome, 1912 ; cf. J. Hoffmanus, dans la Revue néoscolastique de philosophie, Louvain, 1913, t. xx, p. 552-554.

b) Théologie. — a. L’Écriture : R. Cornely, Critica introductio in utriusque Testan^enli libros, Paris, 1894, 1. 1, p. 135, 673-677. — b. La foi : J. Hettwer, De fidei et scientiæ discrimine et consortio juxta mentent Ilugonis a.S". Victore, Breslau, 1875 ; G. Hoffmann, Die Lehre von der fides implicita innerhalb der katholischen Kirche, Leipzig, 1903, p. 52 sq. ; J. Martin, L’apologétique traditionnelle, Paris, [1905], t. ii, p. 96-104, 176-180 ; T. Heitz, Essai historique sur les rapports entre la philosophie et la foi, de Bérenger de Tours à saint Thomas d’Aquin, Paris, 1909, p. 71-84 ; K. Ziesché, Verstandt und W ille beim Glaubensakt. Eine spekulativ-historische Studie aus der Scholastik im Ansch.

lusse an Bonaventura, Paderborn, 1909, p. 21-26. — c. Dieu ; J. Kilgenstein, Die Gotteslehre der Hugo von St. Viktor, Wurzbourg, 1898 ; U. Baltus, Dieu d’après Hugues de Saint-Victor, dans la Revue bénédictine, Marcdsous, 1898, t. xv. p. 109-123, 200-214 ; L. Grunwald, Geschichte der GoUesbeweise im Mittelaller bis zu Ausgang der Hochscholastik, Munster, 1907 ; cf. C. Henry, Histoire des preuves de l’existence de Dieu au moyen ùge jusqu’à la fin de l’apogée de Ui scolastique, dans la Revue thomiste, Toulouse, 1911, t. xix, p. 21-24. — d. La création : O. Zockler, Geschichte der Beziehungen zwischen Théologie und Naturwissenschaften mil besonderer Riicksicht auf die.Schopfungsgeschichte, Gùtcrsloh, 1877, t. i, p. 401-404. — e. Le Verbe incarné et rédempteur : J. Tiach, Die Dogmengeschichte des Mittelallers vom christologischen Standpunkte, Vienne, 1875, t. i, p. 309367 ; O. Baltzer, Beitràge : ur Geschichte des christologischen Dogmas im XI und XII.hdirhundert, ’lans les Studien zut Geschichte der Théologie und Kirche, f^eipzig, 1898, t. iii, p. 44-52 ; J Gottschick, Studien zur’ers<jhnungslehre des Mittelallers, dans la Zeitschrift fur Kirchengeschichte, Gotha, 1901, t. XXII, p. 378-438 ; J. Rivière, Le dogme de la rédemption, l^aris, 1905, p. 339-342, 474-475 ; L. Capéran, Le problème du salut des infidèles. Essai historique, Paris, 1912, p. 170-171, 177-179, 182-184. — I. Les sacrements : J. Turmel. Histoire de la théologie positive depuis l’origine jusqu’au concile de Trente, Paris, 1914, voir les pages indiquées à la table analytique, p. 497 ; P. Pourrai, La titéologie sacramentaire. Étude de théologie positive, Paris. 1907, p. xi-xii, 34-39, 60-62, 148, 245, 252-253, 306, 340-343 ; D. S. Schaff, The sacramental theory of the mediœval Church, dans The Princeton theologicalreview, 1906, p. 206-235 ; J.de Ghellinck, La Species quadriformis sacramentorum des canonistes du XI Ie siècle et Hugues de Saint-Victor, dans la Revue des sciences philosophiques et théologiques, Paris, 1912, t. vi. p. 527-537 = Le mouvement théol. du XII’siècle, p. 359-369.

c) Mysticisme, piété, prédication. — C. Weiss, Hugonis de S. Victore methodus mystica, Strasbourg, 1839 ; É. Vacherot, Histoire critique de l’école d’Alexandrie, Paris, 1851, t. iii, p. 125-130 ; W. Preger, Geschichte der deulschen Mystik im Mittelaller, Leipzig, 1874, t. i, p. 227-241 ; L. Bourgain, La chaire française au XII’siècle, Paris, 1879, p. 115-120 ; A. Saudreau, La vie d’union à Dieu et les moyens d’y arriver d’après les maîtres de la spiritualité, 2e édit., Paris, 1909, p. 232-238 ; C. Oulmont, Le verger, le temple et la cellule. Essai sur la sensualité dans les œuvres de mystique religieuse, Paris, 1912, voir les pages indiquées à l’index alphabétique, p. 328.

d) InPuences. — D’Abélard : É. Kaiser, Pierre A bélard critique, Fribourg (Suisse), 1901, p. 267-308. Sur Othon de Freising : A. Hofmeister, Studien ûber Otto von Freising, dans le Neues Archiv der Gesellschaft fiir altère deutsche Geschichlskuiulc, Hanovre, 1912, t. xxxvii, p. 650-654. Sur l’auteur des Sententiæ divinitatis : B. Geyer, Die Sententiae divinitatis, ein Sentenzenhuch der gilbertschen Scinde, Munster, 1909, p. 56-58. Sur Pierre Lombard : O. Baltzer, Die Sentenzen des Petrus Lombardus, ihre Quellen luid ilve dogmengeschichtliche Bedeutung, Leipzig, 1902 ; J. de Ghellinck, Le traité de Pierre Lombard sur les sept ordres ecclésiastiques, ses.sources, ses copistes, dans la Revue d’histoire ecclésiastique, Louvain, 1909-1910, t. x, p. 290-302, 720-728 ; t. xi, p. 29-46. Sur Richard de Saint-Victor : G. Buonamici, Riccardo da S. Vittore, saggio di sludi sulla filosofia mistica del secolo XII, Alatri, 1898.

F. Vernkt.

    1. HUGHES ETHERIANUS (Ethcrianus##


8. HUGHES ETHERIANUS (Ethcrianus,

Eterianus, Heterianus ; eu ilalien, Ugo Eteriano). originaire de Pise, occupa avec son frère Léon une place importante à la cour de Manuel Paléologue( 11431180) ; ils faisaient partie tous deux de ce groupe intéressant de latins admis par l’empereur à la direction des affaires publiques pour de profondes raisons politiques autant que par sympathie personnelle. Léon remplissait les fonctions dinlerprète officiel, et c’est évidemment de lui que provient la traduction de la liturgie de saint Jean Chrysoslome attribuée à Léon de Toscane. Lcn Tuscus. Quant à Hugues, son rôle est assez mal dilîni, mais on le trouve mêlé aux négociations multiples menées entre Rome et Byzance sous le règne de l’empereur Manuel et du pape Alexandre III. Quand les légats pontificaux vinrent à Byzance, en 1166, pour conclure une alliance avec