469
ESCLAVAGE
470’mM : mBB5
fa vertu cles esclaves adoucit et captive les maîtres,
"La’c’ompéuétration de la vie domestique les rend d’ailleu-s également puissants pour le mal, et s a, ut Jean Srysfstome dépeint fort vi™.t comment, ^a cas de jalousie des époux, les « ^’a^ « ^J’^^J"Vi, viii, Tl75^ IS : i ?syireïrét.>n, ’[ès^-lTeS’du ; appro : Sem’Jnt dt miifrS’et des esclaves -ut to^a autres
Lau’M’esclavai de la croix, pour les hommes d
S rac ::divers et ^apP^^ ™é ;.^ï ^ SS
et le mystère de sa croix, il les a racueics
ont compris et Pratiqué ces le^çonse s cscla^^
rÏéHe même doît’^eu ; r^pport^ : Hannlitaiis fuit I
r, , rn ancilla omnium puiaretur : nisi qiwd eo Chrsii ZaaiT^e a ma, dum domim, homimun non pntainr. P L t xxi, co. 426. Les récents biographes de samt ; ^ ; ianiëontrendupopulairelalibéralitedecettc
t ! flmille Cf Covau, Sainte Mclanie, p. 90 sq. ïïc ; :.iSt ; Hq^-^^ y’a Parnù les^t^s -e richesse et une grandeur invisibles ; f "’« ’f' ;, /, . nonne sunt apnd vos, alii paupercs, aln dwiles, ain
- -Jp ! Fnsuite leur premier législateur leur a pcr-Sé’quMhéSeS
tcïis irères… Us méprisent donc ïoï ? et regardent leurs biens comme communs…
^’i ; ::? : i^ ; i -’- des seuls point. es^ntMs de la re r..ion amenait cette (ransformat.on d idées
cS"’poslolorun. doclrinam arcipcret pro, cr, uc leneret Jam mine per Adamum novum qui est Chn-Tus, comm"nionen^fratcrnamel l^omims cumhonur. cl aends cum genle inlercedere ; ipsis, sicut unam eamdeZ’C intra naturæ fines, orir, inem, s, c supra Zu Zi oricjmem unam eamdemque ^sse ^au-sct nJi^ omnesaquabUiler in adoptioncm Dei et Patns ^fccto^Zippe nuos cosdem ipsn prclio magno una Zemènt e’^usdem corporis membra omncs omnesrrue eiusdm palicipes mensve divinx : ommhus gratix ZncZ omnibus item munera vitx immortalis paiera.
Cf. S. Ambroisc, De Abrahem, , ii, 28. P-^ ;.^- JJJ^ col. 468, et la bulle In supremo aposiola.u. de Gre goire XVI, au début prédication
""l ! r„, » ln « en et l’» s, g. <le î’esclav, ge ne c„„stjesclave est un de ces Cc s ou permettent
dav, en co’mientant^la parabole du serviteur inut le Servus apponil domino suo cibos multipliées
- tlem : tiuus70poris conditos ; ’P-, — ^"l
ctam, nec salilam forsitan’^"’""^.f ; ’" ^ « d Ton’^"aùn^rum noelis ad escamreservet et soporem.
t’ïJTk^^nn : S ; ; ?ti ; ; ; entir ce qu’e^ la crSte^ërvile, recourait à des souvenirs sans doute
suum ne’iubeareum verberari, jubeat in compedes nZ : jubea" careere includi, jubecd "" ;, P’f"’°^° ;
Lir ; nïï « .e./., quia eadem -™ « ?----, £ manclnint, quæ flagellis et compedibus, '^9"’°'" ^’obnoxiæ rétro fnerant. De ressurr. carnis, 57, P. L.,
saints Chrysostome, commentant l’Épître, à PhÏ mon, prend s’es auditeurs à témoin de 1=^ colère
Ssr ; ; iri^--cS-e ; ^^^^ l ; ^ér-^i ; : ; LJiScXSs^s ; ; : n^^
^.^de" on V ; S ; L esclaves dans le cas d a u^t^^^^^^^ d’une matrone, partageaient le sort de la coupable
donties la liberté, et tu lui laisses un dor…^ Mais toi, si méchant, tu es ainsi bone humain poiir unjs clave. la bonté infinie de D.eu… " / ; <- tlmi 1 mr. rr U T t XXXVIII, col. H'> ^t’; <ipu^niùÔn-revient fréquenuuc^ c^^s Pères de traiter les esclaves avec honte et compa nn’ii V -lit réciprocité de service et de suDor s.on « Q^^ ! ^ ^^fj-’^'r^’v aura pas esclavage. Que dina’ion : de la soiie, ii " y "" i l’ontro
i’-. ; : fSwr^i ; air^r : sfr ; r u : i ; a ; tr : t
esc xssrseA^’n mutuellement ; bien mieux vaut îc’sdave de la sorte que mailrc dnns|es conditions opposées. » S..Jean Chrysostome, ’^f, ^ : ;., ebe homil. XIX, n. 5, P. G., t. i-xii, col. 1.51. o.r le beau