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aide n i al et es i ubslituts, lea con maltrea de ci n monie, lea médi pharmaciens, menuisiers, maçons et les personni
loua enfermés bous la même et f, tant que’m du pape n’est pas achevée.
I n outre le Quirinal est, dans son ensemble, beaucoup plus régulier que le Vatican, qui est plutôt une agglomération un peu capricieuse de plusieurs palais, bâtis à ilirses époques. Le Quirinal ae prétait donc mieux à l installation des cellules destinées & chaque cardinal. i ifs le firent choisir, au commencement du
mv cle, pour le lieu de l’élection papale. Lé furent successivement proclamés souverains pontifes Léon XII, Pie VIII, Grégoire XVI et Pie IX.
Les cellules cardinalices se dressaient dans les galerii s qui longent la rue actuelle du Vingt-Septembre, depuis la place de Monte-Cavallo jusqu’au carrefour des Quatre-Fontaines. Dans cette portion de la rue, toute circulation était alors interdite ; suit pour ne pas gêner les électeurs par le bruit et le tumulte ; soit pour ne pas influencer leur vote par la transmission des nouvelles du dehors. Dans ce but, aux extrémités de la rue, comme aux portes principales du palais, étaient postés îles détachements de troupes, chargés de renforcer la garde suisse des temps ordinaires. Cf. Moroni, Diziona v° Cella del conclave, t. xi, p. 65 sq. ; Conclave, §6, t. v, p. 297 sq. ; Palazzo apostolico Quirinale, t. l. p. 231-252.
Les cellules étaient formées aussi par un ensemble de charpi nies de planches numérotées qu’il était facile de monter et de démonter. Quand le Quirinal eut été ravi au pape, en 1870, on dut renoncer à y tenir les conclaves. L’outillage préparé dans ce 1 >u t fut dilapidé, dispersé ou détruit par 1rs envahisseurs. A la mort de Pie IX (7 février 1878), il fallut créer de toutes pièces une charpente et l’adapter au Vatican. Le plan en avait été’dressé à l’avance par M. Vlarlinucci. l’un des architecte - des palais pontificaux. Une commission cardinalice, composée des cardinaux di Pielro, Sacconi, liorromeo et Simeoni, fut chargée de l’examiner. Elle l’approuva, sauf quelques détails secondaires qu’elle modilia, et l’exécution en fut commencée sur-le-champ. Pendant les neuf jours consacrés, suivant le cérémonial, aux funérailles du pontife défunt, prés de cinq cents ouvriers y travaillèrent jour et nuit, de manière a l’achever pour qu’il fût possible aux cardinaux d’entrer en conclave, aussitôt aines les funérailles de Pie’IX. Ce conclave différait de ceux qui avaient été installés précédemment au Quirinal par la suppression des cellules. L’ancien matériel avant disparu, on n’avait pas eu le temps de construire toute la charpente nécessaire pour une soixantaine de’cellules. On se contenta d’élever des cloisons dans les grandes salles du Vatican. Chaque appartement comprenait trois ou quatre pièces. De cette façon, chaque cardinal disposait d’une installation complète pour son usage personnel, et pour ses conclavistes, ecclésiastiques et laïques. Ce conclave était ainsi beaucoup plus confortable que les précédents, I travaux d’appropriation coûtèrent près de 8IHHHI francs. Cf. R. di Cesare, Il conclave di Leone XI 11, Home, 1888, p. 427.
Le conclave de Pie X (31 juillet-4 août 1903) ressembla à celui de Léon XIII. Soixante-deux cardinaux > assistèrent. On l’isola des autres parties du Vatican, par
des murailles, bâties en quelques jours, et dont la hauteur, en certains endroits, était d’une dizaine de mètres.
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uillet 1903, e I ne dura que qu ; I n te’moii
Mathii u. /.. Léon XIII et le
, in-12, Paris, 1901 cernant le conclave d< Pii X ont et publié !
par M Cad< ne, d’abord dans l< s Analecta rcclesiu août 1903 ; puis, à part. in-8 Hum.. 19ui. Pour le d des cérémonies dinaux en teinj
conclave. voir Moroni, Dizionario t. xv, p. 298-319 ; (long catitinal
sale vacante, t. xvi, p. 288-299 ; Cappella, t. viii, p. 138 -e, .. 186 sq., 180-195.
IV. Le veto »i> pl. le
DROI1 D’EXCLUSIVE.— I Origine et notion. - :
mverains se seml déduite i au conclave. Presque toujour> ils ont cl cer leur influence, <-<. ! t en vue de Jair.- élire un pour lequel ils avaient des préfe ren te r les cardinaux qui ne leur i
influence, ils l’exerçaient par le moyen des cardinaux de buis Etats. Vu le nombi I considérable des membres du Sacré-Collège, il était preimpossible que les cardinaux d’un Kl formassent la majorité. Ln supposant inéinequ’ilseu tous consenti à se conformer, dans li désir de leur souverain, celui-ci n’eût p, , faire élire le candidat qui lui plaisait. S, art donc, l’action de-* souverains fut pn nulle. Ils furent, en général, pli
Ceux qui ne leur plaisaient pas. De la. Il
rive donne à leur immixtion dans I raie-*.
Cette exclusive, ou exclusion, ils se content fois de la découvrir seen t’mi ni aux cardinaux qu’ils
raient faire entrer dani ils la manifestaient publiquement par I intermédiaire d’un cardinal. qu’ils chargeaient de la notifier ofi lement an Saci Ils espérai nt, alurs, que le
prestige deleur couronne et le poids d<- 1< ur autorité inclineraient la volonté des électeur-, et en ralliei beaucoup à leur sentiment. Cette exclusion ainsi prononceV n’avait évidemment aucune valeur juridique. Elle était comme l’expression d’un désir de la part d’un prince catholique, et, somme toute, bienveillant à l’Église. Rien n’empêchait h-s cardinaux d’examin ce désir se conciliait avec les inl l’univers chrétien, el s’il avait lieu d’en tenir ce.mpte. Les grandes puissances catholiques protégeant l’Éj axaient droit à certains égards. S’il ne convient pæffet, que le chef de la chrétienté soit nomm politiciens, néanmoins, pour la facilitedes relations internationales, il importe que in pontife
auprès des chefs d’Ktal persoiia grata. urs.
justement soucieux des inte-ivis des àim Iraient pas une faute, en choisissant, entre des candidat ! d’un mérite égal, celui qui serait le mil dont l’élévation au souverain pontificat donnerait le plus de garanties de paix et d’entente cordiale av. verains. Ils ne violeraient pas le serment qu’i déposant leur bulletin de vote. En fait, les cardinaux, réunis en conclave, accueillaient généralement avec bienveillance’ces désirs exprimés par lessoui grandes puissances catholiques. C’était ui élance île’leur part : rien de plus. Ce qui i d’abord qu’une concession gracieuse du Sacré-Colle
