un
CONSTANTINOPLE (ÉGLISE DE)
1442
Syxtagmation de 1715.
Syntagmation de 1855.
21. Larissa (9).
21.
Pisidie.
2Z. Moldavie ou Tassi (3).
22.
Crète (6).
23. Oungrovalachie (2).
23.
Trébizonde.
24. Transylvanie (3).
24.
Larissa (4).
25. Naupacle et Arta.
25.
Aria.
20. Philippopolis.
26.
Philippopolis.
27. Rhodes.
27.
Rhodes (1).
28. Serrés.
28.
Serrés.
29. Philippes et Drama.
29.
Drama (1).
30. Smyrne.
30.
Smyrne (1).
31. Miiyléne.
31.
Milylène.
32. Janina (4).
32.
Ancyre.
33. Didymotichos.
33.
Philadelphie.
34. Philadelphie.
34.
Varna.
35. Mélénie.
35.
Sanios et Icaria.
36. Nouvelle-Patras.
36.
Mélénie.
37. Thèbes.
37.
Prespa et Lychnides.
nos.
38.
Ainos.
39. Métymna.
39.
Chaldia et. Chérianai.
40. Paronaxia.
40.
Métymna.
41. Mésembrie.
41.
Mésembrie.
42. Vidin.
42.
Vidin.
43. Drystra.
43.
Drystra et Prestav.
41. F.uripos.
44.
Sisanios et Satisté.
45. Sofia.
45.
Sofia.
46. Vizya.
46.
Vizya et Média.
47. Média.
47.
Anchialos.
48. Anchialos.
48.
Maronia.
49. Varna.
49.
Silivrie.
50 Proïlav et Tomarov.
50.
Sozoagathopolis.
51. Maronia.
51.
Xunthi et Périthéorion
52. Silivrie.
52.
Ganos et Khora.
53. Sozopolis.
53.
Chio.
51. Xanthi et Périthéorion.
54.
Lemnos.
55. Ganos et Kh.ua.
55.
Imbros.
56. Gothie et Capha.
56.
Dcmétrias et Zagora.
57. Cliio.
57.
Elasson.
58. Lernnns.
58.
Proconèse.
59. Imbros.
59.
Cassandria.
GO. Dercos et Xéochorion.
60.
Gkora et Dyrrachium.
61.
Proïlav.
- MÉTROPOLES DU PÉLOPO##
MÉTROPOLES DU PÉLOPO.NÉSE
62.
Pogoniané.
01. Corinthe (2).
03.
Dryïnopolis.
1.2. M.inembasie (4).
64.
Cos.
63. Yieille-Patras (4). i V. Lacédémone (3). hristianoupolis. CO. Nauplie.
Les chiffres, mis entre parenthèses, indiquent le nombre d’évéchés suffragants que possédaient plusieurs métropoles à chacune dis deux dates indiquées. Si l’on compare ces deux listes, on s’aperçoit vite qu’un certain nombre de métropoles, qui figurent dans celle de 171."), ne sont plus dans celle de 1855. Dix ont disparu par suite de la révolution grecque de 1821, qui a, en même temps, affranchi l’Église hellénique. Telles sont : Athènes, Thébes, Paronaxia, Euripos, et les six métropoles du Péloponèse Corinthe, Monembasie, Vieille-Patras, Lai, Christianoupolis et Nauplie. Telles
ni encore les trois métropoles roumaines de Mold.n ie, ( lungrovalachie, Transylvanie, et la métropole de Gothie-Capha, arrachi révolutions politiques. Enfin,
Vizya et Média étaient déjà unies vers 1730. Cela fait donc quinze métropolt mi moins. Par contre, nous avons des métropoles arrachées à d’autres Égli comi’i Lychnides, Sisanios, Dyr rachium, qui furent enlevées à Ocbrida en 1707 ; comme nlevéc < Ipek en 1766. Nous avons sept métropoles, qui étaient de simples arche 171.") et en 1759 : Procom oniané ; Ela
Samoa et Icai i Iria, Chaldia ; enfin, deui mé . Dryïnopolis, établie en juillet 1835, Démétriasra, établit mbre 1795, qui relevait ni i n
1715, l’une de Janina, l’auti d Larl i comme évi su lira ;.
i tion d’Anthime VI, en 1856, contient
>>.mil’métropoles relevant du
DICT. t>F. mÉOL. CATIIOL.
patriarcat œcuménique, mais d’une manière tout à fait spéciale. Nous avons vu au chapitre précédent que le patriarche Samuel supprima en 1766 l’archevêché grécoserbe autonome d’Ipek, et, en 1767, l’archevêché grécobulgare d’Ochrida. Tous les diocèses, qui relevaient de ces deux éparchies ecclésiastiques, ne furent pas incorporés au patriarcat œcuménique, mais, tout en reconnaissant sa juridiction, ils formèrent deux groupes à part, pour lesquels le patriarche œcuménique devait obtenir un bérat spécial de la Sublime Porte. C’est tout ce qui restait de l’aulonomie de ces deux vieilles Églises nationales. L’archevêché d’Ipek comprenait donc en 1855 huit métropoles : Nich, Uscub, Ilersek, Kustendil, Samocov, Sbornic, Rascoprisrend, Nyssava. L’archevêché d’Ochrida en comptait dix : Kastoria, Vodéna, Korytza, Phanariopbarsale, Stroumitza, Belgrade ou P>érat d’Albanie, Grévéna, Mogléna, Dibra, Vélés. Toutes ces métropoles figuraient en 1715 dans le Stjntagmaiion de Chrysanthe, p. 89, 81, sous l’Église d’Ipek et d’Ochrida dont elles dépendaient alors. Il est à remarquer que, depuis le schisme bulgare de 187*2 et depuis la constitution de l’exarchat bulgare, le Phanar s’est purement et simplement annexé celles de ces dix-huit métropoles, qui sont situées sur le territoire ottoman. Elles figurent donc à leur place hiérarchique dans le Syntagmation d’aujourd’hui.
En dehors de ces deux Églises nationales, le Syntagmation d’Anthime VI, en 1855, comprenait deux archevêchés autocéphales : Lititza et Karpatbos, qui sont depuis devenus métropoles, le second en 1869. Il comprenait aussi une série d’évéchés suffragants, 31 en tout, répartis sous onze métropoles. Éphèse possédait deux évèchés : Hélioupolis — Thyatire établie en juillet 1774, Kréné — Anéai, dont le premier devint métropole en 1901 et l’autre en 1902 ; Héraclée en possédait trois : Gallipoli, promu au rang de métropole en 1901, Myriophyte et Métrai, qui restent sullragants ; Smyrne en possédait un, Moschonissia, qui reste suffragant ; Drama un autre, Éleuthéroupolis, devenue métropole, Rhodes un autre, Léros, devenue métropole ; Janina un autre, Paramythia, devenue métropole ; Larissa quatre : Stagi, Gardikion, Thaumacos et Tricca, qui sont passés à la Grèce avec leur métropole ; Tirnovo trois : Tzerbénos, Lophtzos, lirai/a, qui sont passés à la Bulgarie avec leur métropole ; Thessalonique huit, dont cinq restent encore évêchés suffragants : Kilros, Campania, Polyané, Ardamérion et Hiérissos ou le mont Athos. Des trois autres, Servia est devenu métropole, au mois de mai 1882 ; Platamon et Pétra ont disparu. Néocésarée, qui comptait un évèché, Nicopolis, l’a vu remplacé par la métropole Colonia, située dans la même région. Enfin, Crète, qui ne comptait en 185." » que six évéchéa : Arcadia, Avlopotamos-I’éthyiiino, Kydonia-Kissamos, KberhUéra et Siiia, en possède sept aujourd’hui. Kytlonia et KissaiTlOS, unis depuis 1831, sont séparés depuis 1860 ; en revanche, Hiéra et Silia, autrefois séparés, ont aujourd’hui disparu. On a, de plus, rétabli les anciens évéchés de Lampa et de Pétra.
XXII. Belations Avr.r : i.f.s Églises orthodoxes, XV-XIX’SIÈCLES. — Si l’on voulait résumer cette période de quatn on constaterai) qu’après un accroissement subit et anormal, qui tenait plus aux victoires des Jures, à l’argent et aux intrigues des Pbanariotes, qu’a une évolution historique propremenl
dite, I" palri.ire.il.leninéniqii des tout à
rail m. parabli qui n’existaient pas ou
, |ui dl |" "die ni d. lui se BOnl. d’antres
qu’il s’était incorporé’- de fort ont refoi
et l’on compte aujourd’hui, pour ne pas mentionner |, .s Iractioi’un caractère encore in neul Eglises qui jouissent d’une autonomie absolue : l’Église russe, i Église bulgare, l’Église grecque du royaumi hellénique, i i nain d< Roun
III. - 40
